Spartak et foot non-mixte : la mairie n'est pas woke
Le 26 septembre dernier, le Spartak lillois s'est pris un tacle de Martine Aubry et son équipe d'élu·es zélé·es. Alors qu'était organisée pour la quatrième fois une séance de foot en non-mixité choisie sans homme cis, la municipalité a interdit le jour-même l'événement, au nom du principe de mixité. Une position lâche, qui refuse de prendre en compte la réalité à laquelle sont confrontées les femmes, personnes trans et non-binaires. Plus qu'une question d'accès au sport, il s'agit de lutte contre le patriarcat, sur tous les terrains.