Carte des droites extrêmes de Lille et alentours
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La députée du Nord Violette Spillebout instrumentalise les « violences contre les élus » pour faire passer une loi qui sert avant tout son intérêt personnel, et attaque le droit de la presse au passage. Découvrant la réaction de l’intersyndicale des journalistes, elle se rétracte partiellement. Mais l’intérêt de l’ancienne candidate à la mairie de Lille ne s'arrête pas à un alinéa. Décryptage.
D’emblée, vous ne qualifieriez pas les architectes de « révolutionnaires ». Et vous auriez sûrement raison ! En début d’année, les étudiant.es de l’école d’architecture de Villeneuve-d’Ascq se sont mobilisé.es pour de meilleures conditions d’études. Iels ont amené leur contestation jusque dans les cortèges des manifestations contre la réforme des retraites… sans jamais en soutenir les revendications !
De tradition ultra-libérale, l’industrie du jeu vidéo n’est pas exactement un havre de paix pour les travailleur·ses. Harcèlement, sexisme, horaires démesurés, bas salaires, écoles hors de prix, manque de reconnaissance… Jusqu’en 2017 et la création du Syndicat des travailleur·ses du jeu vidéo (STJV), les patrons et le système avaient plus ou moins le champ libre pour essorer les salarié·es au nom de la « passion ». Les entreprises lilloises n’ont pas manqué de prendre le train en marche, Ankama et Ludogram en tête.
Le 26 septembre dernier, le Spartak lillois s'est pris un tacle de Martine Aubry et son équipe d'élu·es zélé·es. Alors qu'était organisée pour la quatrième fois une séance de foot en non-mixité choisie sans homme cis, la municipalité a interdit le jour-même l'événement, au nom du principe de mixité. Une position lâche, qui refuse de prendre en compte la réalité à laquelle sont confrontées les femmes, personnes trans et non-binaires. Plus qu'une question d'accès au sport, il s'agit de lutte contre le patriarcat, sur tous les terrains.