Didier Fusillier, dans Libération (27/06) : « Sans la puissance publique et une poignée de personnalités politiques, il ne se passerait rien. » Clin d’œil à Aubry sans laquelle il ne serait pas devenu le pape de la culture à Lille. Et d’ajouter que « le mécénat privé est devenu inaccessible, voire inexistant ». Fichtre ! Pour un type dont l’asso capte 40 % de financements privés, y’a de quoi tomber de cheval. S’il est un art que Fusillier aime cultiver, c’est quand même bien celui de dire des conneries.