Grande messe culturelle et projets d’aménagement de la métropole, rénovation urbaine et gestion des populations, collusion des pouvoirs publics et économiques...
Cette fois il ne s’agit ni de LMCU, ni de Lille 3000, ni du bassin minier du Pas-de-Calais, ni du Louvre-Lens. C’est de Marseille que nous arrive un court documentaire d’une vingtaine de minutes réalisé par La Rabia del Pueblo avec des habitants, militants associatifs et artistes locaux...
C’est mis en musique par Keny Arkana, avec quelques autres sons du cru, et ça s’appelle Marseille Capitale de la Rupture.