En octobre, Aubry et Fusillier offriront le Tripostal au collectionneur d’art Emmanuel Perrotin pour fêter les 25 ans de sa galerie parisienne. Luxueuse, « cette exposition sera l’occasion de rendre compte de la vision d’un galeriste français ». Un galeriste qui déclare : « Faut pas se tromper : le milieu de l’art est au minimum celui de la middle class ! […] Mais l’ouverture des élites s’est accomplie, bien que plus doucement que dans d’autres pays, alors soyons positifs : ça s’est amélioré ! » Bien sûr l’entrée sera payante : pour quelques pièces, les pauvres auront le droit de voir cette « ouverture des élites » et, comme elles, parler d’art contemporain.